jeudi 2 décembre 2010

Les conséquences de la mondialisation sur le consommateur

Les conséquences de la mondialisation sur le consommateur


En dix ans, le nombre de produits dans les rayons de nos supermarchés a augmenté de 66% selon l'IFM (Institut français du merchandising). Ce chiffre caractérise le fait que les consommateurs ont des préferences qui se diversifient avec la mondialisation. En effet, aujourd'hui, il est possible de se procurer de la nourriture asiatique ou sud-américaine dans un supermarché français.
Un consommateur est une personne qui utilise, à titre personnel, un bien ou un service. Il est caractérisé par sa faculté à choisir sur un marché concurrentiel. A ce titre, il est considéré comme ayant des préférences de certains bien par rapport à d'autres. La mondialisation, elle, se définit comme étant le processus d'ouverture de toutes les économies nationales sur un marché devenu planétaire. Elle est favorisée par l'interdépendance entre les hommes, la déreglementation, la libéralisation des échanges, la délocalisation de l'activité,...
C'est ainsi qu'on peut se demander si, à présent, avec la mondialisation, le consommateur finit gagnant ou non de cette « guerre des profits »? Quelles sont les conséquences d'une telle ouverture des marchés sur le consommateur?
C'est ici que ces questions vont être traitée afin de présenter en quoi le consommateur tirera-t'il de bonnes ou mauvaises conséquences de la mondialisation.


I – Le consommateur s'est vu offrir un éventail de produits plus large à une meilleure qualité/prix.


Le terme de mondialisation est apparu au début des années 1980 dans la langue française. Dès lors, est apparu une société de consommation proposant de plus en plus de produits diversifiés à des consommateurs de plus en plus exigents. Cette demande s'est diversifiée afin d'éviter le moule alimentaire ou vestimentaire entre autres. Tout cela venant du déveleloppement des modes de communication et de circulation des personnes qui a fait naitre un attrait des consommateurs pour les produits venant d'ailleurs.
Côté offre, l'industrie agroalimentaire, relayée par la grande distribution, met déjà à profit ce besoin de variété et de nouveauté. Environ 13 000 référencres trouvent leur place dans les rayons des supermarché contre 7 800 en 1994.
On peut dire que la mondialisation est avant tout à l'avantage des consommateurs qui, devant la concurrence internationale des entreprises, ont accès à des gammes de produits plus importants à des prix moins élevés et donc voient leur pouvoir d'achat augmenter.


II – Au détriment d'une sécurité de l'emploi.


Du coté des inconvénients de cette mondialisation sur les consommateurs, on retrouve le raisonnement de Maurice Allais qui consiste à dire que les consommateurs ne sont pas seulement des acheteurs mais aussi des producteurs qui gagnent leur vie et paient des impots.
Selon son raisonnement, la contrepartie de produits à bas prix issus des importations est finalement la perte de leur emploi ou la baisse de leurs salaires, ainsi que des impots accrus pour couvrir le cout social du chomage et de la politique de l'emploi.
Cette hausse du chomage et des impots fait chuter les salaires ou, du moins, le pouvoir d'achat à long terme, ce qui pourra avoir pour conséquences une baisse de la consommation et donc une baisse des ventes pour les entreprises.
C'est un cercle vicieu issu d'une mondialisation mettant en compétition les travailleurs du monde entier.


Existe-t-il des solutions qui permettraient de résoudre le problème d'un système avantageux mais finalement couteux pour les consommateurs du monde entier?
Nous pouvons nous pencher, entre autres, vers la proposition d'Allais qui consiste à aliéner deux termes paradoxaux qui sont le protectionnisme et le libéralisme.
Cette théorie consiste à créer des zones de total libre-échange entre pays à memes niveaux de revenus, comme l'a fait l'Union Européenne, afin d'avoir, par exemple, une zone d'Amérique du Sud, d'Asie du Sud Est,... Puis, entre ces zones, de créer des barrières tariffaires permettant de réduire les inégalités de couts de productivité d'un pays à l'autre (comme la différence de cout entre un salarié Français et un salarié Chinois).

Seulement, cette théorie est-elle fiable dans les faits? Si c'est le cas, pourquoi ne pas la mettre en place? Quand atteindrons-nous les limites du système actuel?


Jimmy Pereira Timotéo

1 commentaire:

  1. Je suis Абрам Александр un homme d'affaires qui a pu relancer son entreprise de bois d'œuvre mourante grâce à l'aide d'un prêteur envoyé par Dieu connu sous le nom de Benjamin Lee, le consultant en prêts du service de financement Le_Meridian. Suis résident à Iekaterinbourg Екатеринбург. Eh bien, essayez-vous de démarrer une entreprise, de régler votre dette, d'élargir votre entreprise actuelle, d'avoir besoin d'argent pour acheter des fournitures. Avez-vous eu des difficultés à obtenir une bonne facilité de crédit, je veux que vous sachiez que Le_Meridian Funding Service. Est le bon endroit pour résoudre tous vos problèmes financiers parce que je suis un témoignage vivant et je ne peux pas garder cela pour moi quand d'autres cherchent un moyen d'être financièrement levé. Je veux que vous contactiez tous ce prêteur envoyé par Dieu en utilisant les détails indiqués dans d'autres pour participer à cette grande opportunité Courriel: lfdsloans@lemeridianfds.com /lfdsloans@outlook.com OU WhatsApp / Texte + 1-989-394-3740.

    RépondreSupprimer